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Vous avez toujours rêvé de diriger une mégalopole? De construire un building de 100 étages au pied d’une maison plein-pied? D’appeler votre ville « Bright Falls » parce-que ça claque, alors qu’en réalité vous n’êtes que le maire d’un village de 10 habitants perdu dans les Alpes et qui s’appel Poupiette sur Vézère? Et bien, sachez que vous pouvez vous faire plaisir avec le dernier jeu de Paradoxe: Cities Skylines.
Welcome M. le maire
Cities Skylines est un nouveau jeu de gestion au principe simple et bien connu des fans. Comme SimCity, le joueur doit partir d’une carte totalement vierge pour y construire son village qui se transformera, s’il sait s’organiser, en une ville de plus de 500 000 habitants.
Bien évidemment, il faut avoir des notions en gestion dès le début du jeu, car si le passif est supérieur à l’actif…. (oh là, mes cours d’économies refont surface). Pour faire simple, si le joueur dépense plus que ce qu’il ne gagne, le compte de la ville sera vite dans le négatif et construire deviendra alors impossible, sauf si ce dernier demande un prêt à la banque qu’il devra bien sûr rembourser sur plusieurs mois.
Une fois la ville bien avancée avec un nombre confortable d’habitants, le budget ne devient plus un problème (si vous avez un bon sens de la gestion hein, si vous êtes nul cela sera difficile) et vous pourrez facilement construire ce dont tous les habitants ont besoin.
Pour y arriver en douceur, le titre propose un système de palier qui permet de débloquer, au fur et à mesure de l’augmentation de la population, de nouveaux bâtiments, des services (santé, incendie, protection, éducation) mais aussi des parcelles de terrains. En effet, la carte est extensible et le joueur peut agrandir sa ville avec le temps.
Un gros bouchon sur la rocade ? Ca vient surement d’une grosse bouteille !
Mettre beaucoup de services à proximité des habitations ne développera en aucun cas la ville si le trafic est saturé. Pour ce faire, le jeu propose bon nombre de routes (simple, sens unique, simple arboré, avenue, autoroute, etc….) qui permettront de désengorger certaines artères et de gagner des habitants et des bénéfices. Bien sûr, plus la ville sera grande et plus le trafic sera saturé, peut importe si l’avenue est à sens unique.
Pas de panique, Paradoxe a pensé à tout et il est possible d’intégrer en complément du réseau routier des tunnels de métro, des gares ferroviaires (de marchandises et civil) et des voies de bus. Tout ceci mit en place de manière satisfaisante permettra de réduire les embouteillages et de satisfaire encore plus la population. Cela permettra également aux secours d’arriver plus vite sur les lieux d’un sinistre. Voyez ça comme un effet papillon.
9.1.1 quel est le motif de votre appel ?
Contrairement à un Cities XL ou comme un SimCity, le jeu génère des problèmes à travers la ville et apporte à un certain stade l’obligation de construire des services de secours. Casernes, Commissariats, Hôpitaux, deviendront indispensables. Et ce qui est très intéressant, c’est que lorsqu’un immeuble est en feu par exemple, les pompiers arrivent sur place et avec le zoom au maximum, le joueur peut voir les secouristes sortir du camion pour ensuite éteindre le feu avec leur petite lance. Pour les ambulanciers, ces derniers sortent avec un brancard ce qui est vraiment sympathique.
Une ville en tilt-shift s’il vous plait
A la manière du dernier SimCity, Cities Skylines nous propose de faire une ville en tilt-shift. Pour les non-initiés, le tilt-shift est une technique utilisée pour donner l’impression que les scènes de vie sont des maquettes, cela grâce à deux bandes floues en haut et en bas de l’écran. Que ce soit sur la vidéo d’une vraie ville ou dans le jeu, l’impression que nous observons une véritable maquette mobile est forte.
Graphiquement, le titre est vraiment très beau, et les reflets dans les bâtiments sont du plus bel effet. Les routes, feux de signalisation, piétons et voitures sont également bien modélisés.
Construire, démolir, planter…
D’un point de vu gameplay, le jeu n’a besoin que des flèches de direction pour la caméra et d’une bonne souris car tout se fait par elle. Construire les routes en un clic, l’électricité ou même les zones growable.
D’ailleurs, les zones growable, ce sont les zones que le joueur défini par l’intermédiaire d’un zonage que ce dernier prédéfini dans un premier temps. Si l’environnement est propice, alors les bâtiments se construiront seuls. C’est le cas des zones résidentiels à faible et forte densité, des magasins et des usines. Les services de secours, d’éducations, d’électricité, d’eau, de recyclage, transports et parcs sont de la catégorie ploppable. C’est à dire que ce sont des bâtiments déjà disponibles et dont la mise en place se fait en un clic.
D’un point de vu contenu, le soft propose de nombreux bâtiments et routes. Le point fort du titre revient sans discuter au raccordement avec la communauté. En effet, le jeu nécessite une connexion à Steam. De ce fait, le joueur peut se rendre dans le workshop et télécharger des nouveaux mods (comme supprimer ou ajouter des feux de circulation aux carrefours, augmenter la population des buildings), mais aussi des nouveaux immeubles (de la simple maison de Walter White au World Trade Center) qui sont mis en ligne tous les jours. Cela permet donc d’agrandir son fichier et de diversifier le décor.
Je parlais juste au dessus d’un mod permettant de réguler le nombre d’habitants par immeuble. C’est en effet un point noir du jeu de base. En effet, un immeuble est tout petit et commence au niveau un. Les quartiers à résidences élevées se composent de bâtiments allant jusqu’au niveau 6 (immeubles d’environs 15-20 étages). Dans le jeu, un building de 30 étages se verra composer de 15 ménages, alors qu’avec le mod, ce dernier sera composé de 60 ménages.
Pour une ville qui pourrait accueillir pas moins de 200 000 personnes, le jeu n’en comptabilise que 60 000.
L’ambiance ? Ba c’est moteurs, sirènes et klaxons
Le niveau sonore du jeu reste fidèle au domaine de la simulation/gestion. Exit donc les musiques rocks et place à de l’instrumental. Il n’y a que quelques musiques (environ une dizaine) mais elles se fondent parfaitement dans le jeu au point d’oublier que la gestion de la ville est la préoccupation numéro une. Niveau ambiance, le jeu regorge de sons différents selon les bâtiments (cris d’enfants et cloches lorsque l’on se trouve à proximité d’une école primaire, sirènes et crépitements lorsque l’on se trouve près d’un incendie…).
Pour finir, le jeu annonce également en temps réel ce que pensent les habitants des dernières nouveautés du maire. Grâce à un petit oiseau bleu (rappelant Twitter), le joueur voit les dernières phrases de certains habitants.
Et sinon, tu dors ?
Contrairement à SimCity ou même encore Cities XL, le jeu de Paradoxe ne dispose absolument pas d’un cycle jour/nuit et oblige donc le joueur à travailler de jour uniquement. Un joueur à réussi à faire un mod permettant d’avoir un cycle mais le rendu n’est pas vraiment au rendez vous car les buildings ne s’illuminent pas. Peut être dans une éventuelle mise à jour ?
Et point de catastrophes comme des séismes, chute de météorite, invasions extraterrestres dans ce titre. Il faudra seulement se contenter d’incendies, d’habitants malades ou de criminels. Un mod sur le workshop permet cependant de déclencher des Tsunamis, mais il est conseillé de ne pas sauvegarder par la suite, car l’eau ne s’évacuant pas, la ville serait perdue.
NOTESGraphismes : 18/20Gameplay : 18/20Gestion: 20/20Bande-son: 15/20NOTE GENERALE: 18/20
Les plus :– Les cartes immenses– Le gameplay simple– L’ambiance– L’effet Tilt-Shift– Le petit compte twitter du jeu– Les mods qui apportent du contenu intéressant
Les moins :– Pas de cycle jour/nuit– Pas de catastrophe
L’avis de Steph: Grand amateur de City Builder, Cities Skylines nous fait oublier le mauvais et dernier SimCity. La gestion est parfaite et la grandeur de la carte permet de se faire plaisir en faisant tout ce qu’il nous passe par la tête. Pour seulement 30 euros, le jeu propose un contenu conséquent et dans ce genre de soft, la durée de vie est infini. Un titre que je conseil vivement pour les amateurs d’un ex-pionnier qu’était SimCity 4.
Petit village deviendra grand
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